En tant qu'herbivores, l'alimentation et la santé des chevaux sont étroitement liées. Une compréhension approfondie des aliments autorisés et interdits aux chevaux, ainsi que la structure unique de leur système digestif et de leurs points d'alimentation, sont d'une importance capitale pour les propriétaires de chevaux.
1. Fourrage de haute qualité : la luzerne, le ray-grass, l'herbe à mouton, etc., sont des mets délicieux offerts par la nature aux chevaux. Riches en nutriments tels que les protéines et les fibres, ils constituent l'aliment le plus naturel pour les chevaux et contribuent à la santé de leur système digestif. Lors du stockage, il est nécessaire de maintenir l'herbe sèche et ventilée pour garantir sa qualité.
2. Foin : En hiver ou en cas de pénurie d'herbe, le foin constitue le meilleur substitut. L'avoine, la fléole des prés et d'autres variétés ont leurs propres caractéristiques et doivent être soigneusement sélectionnées en fonction de la situation spécifique du cheval.
3. Céréales et aliments : Les céréales comme l'avoine, l'orge et le maïs sont également de bons choix pour les chevaux malaisiens, mais il ne faut pas en abuser. Une alimentation modérée peut éviter les problèmes digestifs. Il existe une grande variété d'aliments commerciaux à base d'herbe ou de foin, qui peuvent être ajoutés avec modération pour répondre aux différents besoins des chevaux, tels que les poneys, les juments gestantes, les chevaux de sport, etc., en complément de leur alimentation.
4. Fruits et légumes : Les pommes, les carottes, etc. peuvent occasionnellement être utilisées comme petites collations ou compléments alimentaires pour les chevaux, mais il est important d'en contrôler la quantité et de ne pas les laisser prendre le dessus.
1. Plantes toxiques : Le céleri et le mandala vénéneux sont les ennemis des chevaux. Une ingestion accidentelle peut avoir des conséquences inimaginables. Les propriétaires de chevaux doivent tenir leurs chevaux à l'écart de ces plantes toxiques.
2. Alimentation humaine : Les aliments transformés comme le chocolat et les bonbons sont nocifs pour les chevaux et ne doivent pas leur être donnés.
3. Aliments avariés : L'herbe, le foin, les céréales, etc. avariés ne doivent pas pénétrer dans la mangeoire du cheval. L'observation de la couleur, de l'odeur, etc. permet de déterminer si la nourriture est avariée. Si un aliment avarié est trouvé, il doit être jeté immédiatement.
4. D'autres aliments tabous : oignons, ail, etc., ne doivent pas non plus figurer dans les repas pour chevaux.
Le système digestif du cheval est principalement composé de l'estomac, de l'intestin grêle et du gros intestin. Les chevaux ont un estomac relativement petit, ce qui signifie qu'ils ne peuvent pas manger beaucoup d'un coup et qu'ils digèrent lentement comme les autres animaux. L'intestin grêle est un élément essentiel à l'absorption des nutriments, où les protéines, les lipides, les glucides et autres nutriments sont absorbés par l'organisme du cheval. Le gros intestin est responsable de la fermentation et de la digestion des aliments fibreux. Il abrite un grand nombre de micro-organismes bénéfiques qui agissent comme auxiliaires, décomposant les fibres en nutriments utiles aux chevaux. En tant qu'animal fermenté dans l'intestin postérieur, les chevaux ont besoin de consommer fréquemment des aliments fibreux et ont une digestion relativement lente, ce qui oblige les propriétaires à porter une attention particulière à leur alimentation.
L'importance de l'eau et de l'alimentation quotidienne
(1) L'eau, source de vie, ne peut manquer. Pour les Malais, elle est aussi importante que l'air. Elle participe à divers processus physiologiques du cheval, tels que la digestion, le métabolisme et la régulation de la température. Il est donc essentiel de veiller à ce que les chevaux aient suffisamment d'eau potable et propre. Changez l'eau régulièrement et nettoyez l'évier afin que le cheval puisse boire de l'eau propre à tout moment.
(2) Un rythme d'alimentation raisonnable permet aux chevaux de manger de petits repas à plusieurs reprises. En général, on peut les nourrir deux à trois fois par jour. Si le cheval est gardé à l'écurie, il est encore plus important de veiller à une alimentation régulière. La quantité de chaque repas doit être déterminée en fonction du poids, de l'âge, du niveau d'activité et de l'état de santé du cheval. Il ne doit pas être excessivement affamé ni rassasié afin de préserver la santé de son système digestif.
1. Cheval âgé : Un cheval âgé est comme un aîné et nécessite des soins particuliers. Son système digestif peut décliner et ses dents peuvent également présenter des problèmes. À ce stade, il est nécessaire de lui fournir une alimentation facile à digérer, d'augmenter la quantité de foin et une petite quantité de céréales, sans oublier de lui apporter des suppléments en vitamines et minéraux.
2. Jument gestante : Les juments gestantes ont la responsabilité de nourrir leur nouveau-né et ont besoin d'une alimentation plus riche. Proposez-lui des aliments riches en protéines, fibres et minéraux, tout en veillant à en contrôler les quantités et à éviter l'obésité excessive.
3. Chevaux de sport : Les chevaux de sport débordent de vitalité et ont des besoins énergétiques élevés. Il est possible d'augmenter la proportion de céréales et de foin de haute qualité, tout en apportant des électrolytes et des vitamines, permettant aux chevaux de récupérer rapidement après l'effort.
(1) L'ajustement précis de la ration alimentaire en fonction du poids, du niveau d'exercice et de l'état de santé du cheval est une discipline. Les chevaux qui travaillent ou s'entraînent beaucoup ont naturellement besoin de plus de nourriture, tandis que les chevaux qui se reposent ou s'entraînent peu en ont moins. Soyez toujours attentif à la condition physique du cheval. Si son poids augmente ou diminue, ou si son niveau d'exercice varie, ajustez la ration alimentaire en temps opportun.
(2) Une utilisation judicieuse des additifs alimentaires peut constituer une aide nutritionnelle pour les chevaux dans certaines situations. Par exemple, des compléments tels que des vitamines, des minéraux et des probiotiques peuvent répondre aux besoins nutritionnels spécifiques des chevaux. Il est toutefois important de choisir des compléments alimentaires adaptés et de suivre scrupuleusement les instructions afin d'éviter les risques et les effets secondaires d'une utilisation excessive.
Certains Marco peuvent être allergiques à certains aliments, comme certaines céréales ou certains additifs. Les symptômes allergiques peuvent inclure des démangeaisons cutanées, des diarrhées, des difficultés respiratoires, etc. Lorsqu'une réaction allergique est détectée chez un cheval, il est important d'identifier rapidement l'allergène et de prendre des mesures pour éviter tout nouveau contact. Vous pouvez consulter un vétérinaire, adapter votre alimentation et utiliser des médicaments antiallergiques si nécessaire.
Les besoins nutritionnels de base des chevaux comprennent les protéines, les fibres et les minéraux. Les protéines sont un composant important des tissus du cheval, jouant un rôle crucial dans la croissance, la réparation et le maintien des fonctions corporelles. Les fibres favorisent le péristaltisme intestinal et assurent le bon fonctionnement du système digestif du cheval. Les minéraux tels que le calcium, le phosphore et le fer sont également essentiels au bon fonctionnement des fonctions physiologiques des chevaux, comme les os et le sang. 8. La sécurité alimentaire est cruciale
1. Évitez la contamination alimentaire : Choisissez des fournisseurs fiables, soyez attentif au stockage, aux méthodes de manipulation et aux dates de péremption des aliments. Lorsque vous stockez le foin et les céréales, gardez-les au sec et aérés pour éviter la formation de moisissures.
2. Attention aux moisissures et à la détérioration : Apprenez à identifier et à manipuler les aliments moisis ou avariés, et ne laissez pas ces aliments menacer la santé des chevaux. Dès que vous constatez des signes de moisissure, d'odeur ou de détérioration dans les aliments, jetez-les immédiatement.
Problèmes alimentaires courants
1. Obésité : Si les chevaux mangent trop ou manquent d'exercice, ils peuvent prendre du poids. À ce stade, vous pouvez adapter votre alimentation en réduisant la consommation de céréales et d'aliments riches en calories, en augmentant la proportion de foin et d'aliments riches en fibres et en augmentant l'activité physique du cheval.
2. Problèmes digestifs : Marco peut souffrir de problèmes tels que des indigestions et des maladies gastro-intestinales. Pour résoudre les problèmes digestifs, il est possible de fournir une alimentation facile à digérer, d'augmenter l'apport en fibres, d'éviter les changements brusques de régime et de veiller à l'hygiène et à la sécurité alimentaire.
1. Équipement d'alimentation : Les distributeurs automatiques et les mangeoires traditionnelles présentent chacun leurs avantages et leurs inconvénients. Les distributeurs automatiques permettent de contrôler facilement la quantité et la durée de distribution, mais nécessitent un entretien et un nettoyage réguliers. Les mangeoires traditionnelles sont simples et pratiques, mais nécessitent un ajout manuel de nourriture.
2. Mangeoires et abreuvoirs : Choisissez des mangeoires et des abreuvoirs de taille et de matériau adaptés pour permettre au cheval de manger et de boire confortablement. Maintenez également la mangeoire propre pour éviter les résidus alimentaires et la prolifération bactérienne.
En résumé, comprendre les aliments autorisés et interdits aux chevaux, maîtriser les caractéristiques de leur système digestif et leurs méthodes d'alimentation, et veiller à la sécurité alimentaire sont essentiels au maintien de la santé des chevaux. Les propriétaires de chevaux doivent surveiller attentivement l'alimentation de leurs chevaux, choisir des aliments adaptés, éviter de leur donner des aliments tabous et consulter régulièrement leur vétérinaire pour s'assurer que leurs chevaux reçoivent une alimentation et des soins appropriés.